Cyclisme

ya eu tellement de dopé que sa choque pas perso je pense que pratiquement tout les coureur sont dopé sauf que ceux qui se font pas prendre le cache mieux

ça me ferais chier qu'il revienne gagne et soit à nouveau chopé pour dopage, il ne mériterait plus de courir le tdf

Julie Bresset n'était pas rassasiée. En remportant ce samedi les championnats du monde de cross-country à Saalfeden (Autriche), la championne olympique est devenue la 4e vététiste à faire le doublé Jeux-Mondiaux la même année. Lucide sur sa performance, la jeune Française était très émue après la ligne d'arrivée : «Je crois que je ne vais jamais m'en remettre. J'ai saisi ma chance aux JO et ici. C'est magique».

Avec un scénario semblable à celui de Londres, la chroniqueuse de L'Equipe.fr a dominé les débats de bout en bout. Dans les premiers mètres sur route, elle prenait un bon départ, dans la roue des Allemandes Sabine Spitz et Adelheid Morath. Puis à l'affût dans un virage en descente lors du premier tour, la Française a profité d'une chute de Spitz pour prendre les commandes de la course. Ce n'était pas le jour de la médaillée d'argent de Londres, stoppée par le bris de sa roue arrière au tour suivant. Derrière l'Allemande, Dahle, Lechner et Goulde ont chuté à leur tour dans ce même virage, permettant à Bresset de creuser l'écart. La Bretonne comptait trente secondes d'avance au premier tour, puis une minute au suivant.
«Je n'y croyais pas forcément mais je n'avais pas de pression»Du haut de ses 23 ans, face à des rivales bien plus expérimentées, elle a maîtrisé le reste de la course avec beaucoup de sérénité. Son avance qui n'a cessé d'augmenter au fil des tours lui a permis de réduire les risques dans les passages difficiles, et de gérer ses efforts, elle qui déclarait n'avoir «accumulé que de la fatigue» depuis Londres. «Je n'y croyais pas forcément, mais je n'avais pas de pression, expliquait-elle à chaud. Cette course, je l'ai gagnée techniquement».

Avec ce doublé, elle rejoint ses compatriotes Miguel Martinez et Julien Absalon, qui avaient réalisé cette performance respectivement en 2000 et 2004. La Norvégienne Gunn-Rita Dahle, dernière membre de ce club des quatre, a pris la deuxième place à 1'47''. Déjà médaillée de bronze aux Jeux, l'Américaine Georgia Gould a terminé elle 3e à 3'12''. Ce samedi à Saalfelden, Julie Bresset était vraiment au-dessus du lot.

Le classement de la course1. Julie Bresset
2. Gunn-Rita Dahle (NOR)
3. Georgia Gould (USA)
4. Esther Süss (SUI)
5. Irina Kalentieva (RUS)
...
39. Sabrina Enaux
46. Lucie Chainel

VTT - ChM :
Schurter sacré, Absalon 4eNuméro un mondial, Nino Schurter remporte les championnats du monde de cross-country ce samedi à Saalfelden. Il devance les frères Flückiger, Lukas et Mathias, dans ce podium 100% Suisse. Julien Absalon termine 4e à 1'32'' de Schurter

snif Absalon

ouais il est fini , il est temps pour lui de raccroher 10 ans au top c'est déjà magnifique

rappel du palmarès :

Champion Olympique : 2004 & 2008
Champion du Monde : 2004 à 2007
Champion d'Europe : 2006
Champion de France : 2003 à 2012
Coupe du Monde : 2003, 2006, 2007, 2008 et 2009

gros palmarès grand champion mais il faut raccrocher un jour

ouep bien sûr

canto33 a écrit:

Julie Bresset n'était pas rassasiée. En remportant ce samedi les championnats du monde de cross-country à Saalfeden (Autriche), la championne olympique est devenue la 4e vététiste à faire le doublé Jeux-Mondiaux la même année. Lucide sur sa performance, la jeune Française était très émue après la ligne d'arrivée : «Je crois que je ne vais jamais m'en remettre. J'ai saisi ma chance aux JO et ici. C'est magique».

Avec un scénario semblable à celui de Londres, la chroniqueuse de L'Equipe.fr a dominé les débats de bout en bout. Dans les premiers mètres sur route, elle prenait un bon départ, dans la roue des Allemandes Sabine Spitz et Adelheid Morath. Puis à l'affût dans un virage en descente lors du premier tour, la Française a profité d'une chute de Spitz pour prendre les commandes de la course. Ce n'était pas le jour de la médaillée d'argent de Londres, stoppée par le bris de sa roue arrière au tour suivant. Derrière l'Allemande, Dahle, Lechner et Goulde ont chuté à leur tour dans ce même virage, permettant à Bresset de creuser l'écart. La Bretonne comptait trente secondes d'avance au premier tour, puis une minute au suivant.
«Je n'y croyais pas forcément mais je n'avais pas de pression»Du haut de ses 23 ans, face à des rivales bien plus expérimentées, elle a maîtrisé le reste de la course avec beaucoup de sérénité. Son avance qui n'a cessé d'augmenter au fil des tours lui a permis de réduire les risques dans les passages difficiles, et de gérer ses efforts, elle qui déclarait n'avoir «accumulé que de la fatigue» depuis Londres. «Je n'y croyais pas forcément, mais je n'avais pas de pression, expliquait-elle à chaud. Cette course, je l'ai gagnée techniquement».

Avec ce doublé, elle rejoint ses compatriotes Miguel Martinez et Julien Absalon, qui avaient réalisé cette performance respectivement en 2000 et 2004. La Norvégienne Gunn-Rita Dahle, dernière membre de ce club des quatre, a pris la deuxième place à 1'47''. Déjà médaillée de bronze aux Jeux, l'Américaine Georgia Gould a terminé elle 3e à 3'12''. Ce samedi à Saalfelden, Julie Bresset était vraiment au-dessus du lot.

Le classement de la course1. Julie Bresset
2. Gunn-Rita Dahle (NOR)
3. Georgia Gould (USA)
4. Esther Süss (SUI)
5. Irina Kalentieva (RUS)
...
39. Sabrina Enaux
46. Lucie Chainel

je n'ai même pas capté, bravo à elle. Beau doublé

David Moncoutié donnera, ce dimanche, ses derniers coups de pédale dans une course professionnelle. Malgré des ambitions clairement affichées au Tour d'Espagne (une victoire d'étape et la conquête du maillot de meilleur grimpeur), il n'aura pas brillé sur la course, la faute à une vilaine chute dans le Tour de France, de laquelle il ne s'est toujours pas vraiment remis.

L'équipe Cofidis dira également au revoir à un autre de ses coureurs. Jean-Eudes Demaret, auteur de bons résultats chez les amateurs avant d'être victime de la maladie de Chron en 2010, courra ce dimanche le Grand Prix de Fourmies avant de mettre un terme à sa carrière dans la foulée, à seulement 28 ans.

Vers une amnistie de l'UCI?Pat McQuaid compte évoquer la mise en place d'une amnistie dans les affaires de dopage lors de la prochaine réunion de l'UCI, qui se tiendra les 19 et 20 septembre. «C'est un sujet que je ferai moi-même apparaître au comité de gestion et quelque chose sur lequel nous aurions peut-être dû nous pencher», a déclaré le président de l'UCI. Cette décision arrive deux semaines après la destitution des victoires de Lance Armstrong sur le Tour de France.

Au sprint, Tom Boonen (Omega Pharma-Quick Step) a remporté le Paris-Bruxelles. Le champion de Belgique a devancé dans les tous derniers mètres Mark Renshaw (Rabobank) et le triple champion du monde Oscar Freire (Katusha). C'est sa première victoire dans cette course, marquée par l'échappée de cinq coureurs (Bak, Hinault, Preidler, Hollenstein et Thome). Partis après 50 kilomètres, ils ont compté jusqu'à six minutes d'avance sur le peloton.

Mais Omega Pharma, FDJ et Rabobank se sont mobilisées pour reprendre les fuyards à 15 km de la ligne, provoquant alors un sprint massif inévitable. Boonen était dans les meilleurs dispositions pour signer son 14e succès cette saison. Le Belge prépare idéalement les Championnats du monde, le 23 septembre à Valkenburg (Pays-Bas) et enchaîne une deuxième victoire de rang après la World Ports Classic le week-end dernier, entre Anvers et Rotterdam.

Contador qui remporte la Vuelta, il a retrouvé ses produits !

Cyclisme - CF (Hommes) : Le titre pour Dumoulin

Cinquième du GP d'Isbergues malgré une chute, Samuel Dumoulin (Cofidis) remporte la Coupe de France, dont il avait gagné la première épreuve, le GP La Marseillaise. Le futur coureur d'AG2R compte désormais 59 points d'avance sur Julien Simon (Saur-Sojasun), qui a fini 28e et n'a pas marqué de points, avant la dernière course, le Tour de Vendée (14 octobre), sachant que la victoire rapporte 50 points. C'est la troisième fois de suite qu'un coureur de l'équipe Cofidis domine ce classement après Leonardo Duque en 2010 et Tony Gallopin en 2011.

ChM - Martin garde son titre

L'Allemand Tony Martin a conservé son titre de champion du monde de contre-la-montre, mercredi à Valkenburg, avec un chrono de 58'38''76 (45,7 km). Taylor Phinney a pris la 2e place, Vasil Kiryienka la 3e.

Contador seulement 9e, Chavanel 15e

Il s'en est fallu d'un rien qu'un Français succède à un autre Français au palmarès du Mondial espoirs. Ce qui fait tout de même quatre médailles bleues en quatre ans dans cette catégorie après l'or de Sicard (2009) et Démare (2011) et l'argent de Petit (2011). Pas mal si on se souvient qu'il n'y en avait eu aucune lors des dix premières éditions des "Moins de 23 ans", lancés en 1996. «Depuis même Romain Feillu qui avait fait deuxième (en 2006), l'équipe de France Espoirs à une confiance, résume le sélectionneur Bernard Bourreau. Maintenant, c'est possible». Possible au point d'oser et de dérouter un peu en jouant à fond la carte du sprinteur Coquard quand la plupart attendaient le lauréat du Tour de l'Avenir, Warren Barguil.

Barguil «m'a parfaitement tracté dans le Cauberg», a apprécié Coquard. Le problème est qu'il s'est retrouvé seul au kilomètre.«Bernard a décidé de tenter le coup de poker. Beaucoup disaient que c'était un circuit pour puncheurs mais depuis jeudi, quand j'ai fait mon premier tour de circuit, je me doutais que ça pouvait arriver au sprint, révèle Coquard. Le Cauberg, c'est dur, mais tout le monde s'accroche et derrière il n'y a pas vraiment de possibilité de tout faire péter.» D'autant moins que certaines équipes avaient tout intérêt à préserver un sprint final, à l'image des Kazakhs pour Alexey Lutchenko, vainqueur cette année d'une étape du Tour de l'Avenir. L'essentiel était donc de rester bien placé, surtout pour la dernière des trois attaques du Cauberg, la fameuse côte de l'Amstel Gold Race, fierté de ce Limbourg néerlandais aux tons de brique et d'herbe grasse.

Lorsque les coureurs sont entrés une dernière fois dans Valkenburg, Coquard était bien placé dans la roue de Warren Barguil. «Il m'a parfaitement tracté dans le Cauberg, grâce à ça j'ai pu sprinter», a apprécié Coquard. Le problème est que le futur coureur d'Europcar s'est retrouvé seul au kilomètre et il a dû doser son effort au point de lancer son sprint très tard, un poil trop tard pour revenir sur Lutchenko, vainqueur pour six centimètres. «Il m'a confié qu'il ne lui avait manqué qu'un mètre de plus, notait Bourreau. Il a un sentiment de regret mais il n'a pas à en avoir. » «C'est la première fois que je suis déçu de finir deuxième», confirme, avec un large sourire malgré tout, le médaillé d'argent de l'Omnium (discipline sur piste avec six épreuves) aux JO de Londres. «Mais là, c'était inespéré», se souvient-il.

«Je le vois faire une belle carrière, affirme Bernard Bourreau. Il ne lâche rien, il apporte du dynamisme»Du bas de ses vingt ans, reconnaissables à sa bouille de lycéen, mais pas à sa voix, déjà claire, ni à ses propos, pertinents, Bryan Coquard a largement le temps de se familiariser avec l'or, les victoires, et ce dès la saison prochaine chez les pros. «Je le vois faire une belle carrière, affirme Bernard Bourreau, qui, lui, ne sera plus là en 2013 pour les Mondiaux italiens. Il ne lâche rien, il apporte du dynamisme à l'équipe. Il n'a pas le même style que Démare mais ce qu'il a montré de lui aujourd'hui est intéressant. C'est quand même 180 kilomètres, plusieurs fois le Cauberg. Il aurait pu passer à travers, surtout après une saison pleine, et encore plus après les JO.» Il n'en a rien été pour le vainqueur du GP de Plouay amateurs, qui s'avoue «impatient» de passer à l'étage supérieur. De plus en plus, on est aussi impatient de l'y voir.
Xavier COLOMBANI à Valkenburg

dommage Coquard

Philippe Gilbert le belge champion du monde

Voeckler termine 7e, dommage

il était tout seul pendant 20 bornes presque il avait les jambes pourtant

Le départ de Sean Yates de Sky est liée à «des raisons purement personnelles», selon un communiqué de la formation britannique . «Après une longue carrière dans le cyclisme professionnel, il nous a dit qu'il voulait passer à autre chose, explique le manager Dave Brailsford. Sean a été un très bon support pour les coureurs sur la route et un excellent collègue. Nous lui souhaitons le meilleur pour la prochaine étape de sa vie. » Pourtant, selon le journal britannique The Telegraph, Sean Yates serait parti après avoir avoué sa participation dans le système de dopage mis en place par Lance Armstrong dont il a été coéquipier puis directeur sportif. « Sean a été entendu mais il n'y a eu aucun aveu qui l'aurait poussé à quitter l'équipe. » Sky fait donc comme si de rien n'était...

amstel gold race cet aprèm. Qui pourra battre sagan?

victoire de kreuziger en solitaire