Tennis

sa fait la 4eme finale de Grand Chelem perdu par Murray il est maudit

et en + chez lui

jpense qu'il en aura d'autre de toute facon

oui il est encore tout jenue

Stuttgart : Chardy, 2e titre en double

Jérémy Chardy et son partenaire polonais Lukasz Kubot ont remporté la finale du double à Stuttgart en battant dimanche en deux sets (6-1, 6-3) et 1h08 le duo formé du Brésilien Andre Sa et du Slovaque Michal Mertinak, tête de série numéro quatre du tournoi. Le Palois, 25 ans, remporte son deuxième titre en double après son succès en 2010 à Brisbane, associé à Marc Gicquel. Eliminé au 2e tour en simple, le 51e mondial va rester en Allemagne pour disputer le tournoi d'Hambourg qui commence lundi et où il affrontera le Catalan Albert Montanes au premier tour.

bien joué

Rafael Nadal out deux mois de plus

Rafael Nadal, qui souffre toujours du genou gauche, a décidé de rester loin des courts pour poursuivre sa guérison. Le n°2 mondial a annoncé dans un communiqué publié lundi, avoir besoin de deux mois supplémentaires pour soigner une rupture partielle du tendon rotulien (syndrome de Hoffa). Comme l'avait annoncé Marca dimanche, l'Espagnol ne disputera pas la demi-finale de la Coupe Davis face aux Etats-Unis à Gijon du 14 au 16 septembre prochain.

«Je me sens mieux après le rendez-vous avec mes médecins et je suis heureux de savoir que l'évolution de ces dernières semaines a été positive et l'opération a été évitée, s'est-il réjoui. Je vais continuer à travailler avec le programme que les médecins ont établi pour être capable de jouer dès que possible dans de bonnes conditions.»

dure

il reviendra plus dopé euhhh en forme

mdr

Azarenka première finale à New York

Après Melbourne, Victoria Azarenka jouera la deuxième finale majeure de sa carrière à New York après sa victoire sur Maria Sharapova en trois sets 3-6, 6-2, 6-4. La Bélarusse, numéro un mondial, tentera de remporter son deuxième titre du Grand Chelem face à Serena Williams ou Sara Errani.

jsuis pour Williams

elle va gagner, c'est sûr

Serena Williams sur le fil

Et de 15 pour Serena Williams. L'Américaine s'est imposée (6-2, 2-6, 7-5) contre Victoria Azarenka et empoche son 15e titre du Grand Chelem, son 4e à l'US Open. Mais elle a dû s'employer.

L'invincible Serena Williams a plié dimanche face à la vaillance de Victoria Azarenka, mais elle n'a pas rompu. Au terme d'une finale d'une intensité incroyable, l'Américaine s'est imposée en trois sets (6-2, 2-6, 7-5) et 2h18'. Une première en finale de l'US Open depuis 1995.

Au lieu d'une démonstration, on a eu un bras de fer. Azarenka a tout lâché, a serré le poing à chaque point arraché, s'est encouragée à chaque jeu gagné. A 4-1 double break dans le 2e set, elle n'a pas craqué. Idem au moment de boucler la manche (6-2). Elle n'a pas craqué non plus en breakant à 4-3 et en confirmant derrière. Mais un coup droit dans le filet à 5-3 30A lui a porté un premier coup, et trois fautes en servant à 5-4, dans une ambiance surchauffée l'ont condamnée, tout autant que la deuxième balle de 6-6 ratée d'un revers dans le filet. «Ce match sera très utile à Vika, a confié son coach Sam Sumyk. Il va lui permettre de s'améliorer. Elle n'a pas trouillé. Sentir cette électricité, cette foule, avoir Serena Williams en face et une grande opportunité : il faut vivre ça pour être meilleure.»

Serena Williams en a l'habitude alors en sentant son heure revenue, elle a retrouvé son calme. Retours et coups droits tonitruants : elle a assommé une rivale qui en était à 12 matches en 3 sets gagnés de suite. Treize ans après son premier triomphe ici, elle a effacé la défaite 2011 et encore prouvé qu'elle était la meilleure joueuse au monde. Elle rejoint Court, King, Evert, Navratilova et Graf au palmarès des quadruples titrées à l'US Open. Azarenka a pris le dessus sur les rivales de sa génération mais Serena Williams, elle, a le dessus sur tout le monde.

Héroïque Murray !

Andy Murray a enfin décroché le premier titre du Grand Chelem de sa carrière. L'Ecossais a conquis son Graal aux dépens du tenant du titre Novak Djokovic (7-6(10), 7-5, 2-6, 3-6, 6-2) en 4h54'.

Andy Murray a eu ce qu'il méritait : un titre du Grand Chelem. Le Britannique a mis fin, comme son coach Ivan Lendl, a quatre échecs de suite en finale. En laissant ses tripes sur le court, il a endigué la remontée fantastique de Novak Djokovic (7-6(10), 7-5, 2-6, 3-6, 6-2) au terme d'un combat de 4h54'. Le tenant du titre, lui, a perdu deux sets à gérer sa frustration en plus du jeu inspiré de son rival. Ce jour-là en 1933, Fred Perry remportait son premier Majeur. Clin d'oeil du destin pour Murray qui devient le premier joueur britannique titré en Grand Chelem depuis Perry en 1936, et le premier Britannique tout court depuis Virginia Wade en 1977.

L'un a dominé ses démons, l'autre s'est trop longtemps battu avec. Comme en demies, le n°4 mondial a redoutablement bien maîtrisé le vent. Comme au début de sa demie, le n°2 mondial a refusé trop longtemps le combat avant de s'y jeter à corps perdu. Son jeu basé sur le timing et la cadence en a pris un coup avec les rafales. Murray a bien pu perdre deux fois son break dans le premier set, ou encore le double break 4-0 dans le deuxième, il a gardé le cap alors que le Djoker a enchaîné sorties de route et refus d'obstacles. En tête 5-3 dans le tie-break et effaçant 5 balles de set : il a coincé. Revenu à 5 jeux à 5 dans le 2e set, il a dégoupillé. Mais ce champion hors pair s'est révolté pendant deux sets, retrouvant son brio, et a imposé un combat des chefs. Trop tard, car ses jambes ont fini par le lâcher.

Murray a tactiquement contrôlé avant de se dépasser. Il a poussé son rival à jouer un jeu qui n'est pas le sien, fait de faux-rythme, de slices, de montées, de cadence cassée. Très peu de gestes d'énervement, le champion olympique a fait sauter tous ses blocages. A l'usure, porté par des défenses et des contres épatants, il a poussé Djokovic dans une filière très longue appelant un mélange de patience et de prise de risques que le Serbe a mis trop de temps à décrypter.

Enfin doté d'un coup droit digne de son talent, de nouveau créatif et offensif, Murray a pris sa revanche de la finale de Melbourne en 2011 face à ''Nole''. Il a effacé la détresse de celle de Wimbledon et a fait son entrée dans la cour des très grands. Lui qui avait tant pleuré à Wimbledon a été plus choqué que transporté de joie une fois le trophée entre les mains. Délesté d'un fardeau, le n°3 mondial débute une deuxième carrière. Le Big 4, lui, écrase tout : quatre vainqueurs différents en Grand Chelem cette saison, trois finales pour le Djoker, un titre pour chaque Fantastique, et le bonus or olympique pour Murray. Qui mieux qu'eux ? Personne.

Murray passe 3e mondial, Nadal passe 4e normal en même temps

L'Espagne de nouveau en finale

Tenante du titre, l'Espagne va de nouveau disputer la finale de la Coupe Davis. David Ferrer lui a offert, dimanche après-midi, le point décisif face aux Etats-Unis (3-1). Il a battu en quatre sets John Isner (6-7[3], 6-3, 6-4, 6-2) sur la terre battue de Gijon.

Les Tchèques rejoignent l'Espagne en finale

Vainqueur de Carlos Berlocq (6-3, 6-3, 6-4), Thomas Berdych a permis à la République tchèque de se qualifier pour la finale de la Coupe Davis aux dépens de l'Argentine (3-1). Les Tchèques défieront l'Espagne.

Monfils, le retour

Près de quatre mois après son dernier match sur le circuit (à Nice, élimination au 1er tour), Gaël Monfils retrouve mardi la compétition : il fait son entrée en lice à l'Open de Moselle, contre Olivier Rochus.

Metz - Tsonga garde son bien

Jo-Wilfried Tsonga n'a eu aucune difficulté à dominer Andreas Seppi en finale à Metz (6-1, 6-2), dimanche. Le Français, déjà vainqueur l'an passé, a fait une rapide démonstration face à un Italien impuissant.

Jo-Wilfried Tsonga s'attendait à une finale «compliquée» face à Andreas Seppi. Mais l'Italien n'a jamais pu rivaliser avec le tenant du titre, dimanche (6-1, 6-2). Vainqueur en trois sets face à Ivan Ljubicic l'an passé, Tsonga a défendu son bien en livrant un match «plein». Si son entame a été relativement balbutiante (5 fautes directes), il a rapidement retrouvé toute son adresse et sa puissance en coup droit pour clouer son adversaire sur place.

L'Italien a subi le match pendant neuf jeux d'affilée, ne proposant rien, manquant d'engagement sur ses coups et laissant donc Tsonga imposer son pressing. Pourtant, à 4-0 dans le deuxième set, une montée au filet audacieuse s'est avérée payante puisqu'il a remporté le jeu. Jo-wilfried Tsonga a aussitôt répliqué (5-1) avant de relâcher la pression, laissant le 28e mondial empocher son troisième et dernier jeu. Le Manceau n'avait plus qu'à conclure dès sa première balle de match et boucler la finale en moins d'une heure (51 minutes).

C'est le deuxième titre de la saison pour Tsonga après Doha en janvier, le neuvième de sa carrière. «J'étais bien aujourd'hui, j'ai fait un match plein, mais je suis resté concentré, car un match n'est jamais plié contre un joueur comme celui-ci. Je suis simplement très content, c'est la première fois que je défends victorieusement un titre», a-t-il souligné au micro de Sport +.

c'est bien pour la race il va finir dans les 8 pour le master de fin d'année